À bouquiner, à regarder…

Regards sur le Pays de Galles

Les Yeux du témoin de J Lee Thompson (1959). Après une longue absence en mer, le marin polonais Korchinsky débarque à Cardiff et se rend chez la femme qu’il veut épouser, Anya. Cette dernière le reçoit froidement. Une violente dispute éclate, au terme de laquelle Anya trouve la mort…

Hedd Wyn de Paul Turner (1992). Les derniers instants d’Ellis Evans, célèbre poète gallois dans les tranchées de Passchendaele, durant la Première Guerre mondiale. Première nomination d’un film gallois aux Oscars en 1994.

Human Traffic de Justin Kerrigan (1999). À Cardiff, Jip travaille dans un magasin de vêtements où il s’ennuie mortellement. Il ne vit que pour se « défoncer » le week-end avec ses potes, Koop, Nina, Lulu et Moff.

Qu’elle était verte, ma vallée de John Ford (1941). Dans une paisible vallée du Pays de Galles, au début du XX^e siècle, les Morgan, vivent du travail de la mine depuis des générations.

Série Le Prisonnier (1967). Un homme, prisonnier dans un mystérieux village, résiste à ses geôliers qui tentent de lui faire avouer pourquoi il a démissionné.

Série Docteur Who (1963-1989 et depuis 2005). Le Docteur est un extraterrestre originaire de la planète Gallifrey, capable de voyager dans l’espace et le temps à bord d’un TARDIS.

Willow de Ron Howard (1988). Quand la sorcière Bavmorda apprend la naissance d’une princesse, Elora, qui la chassera un jour du trône, elle ordonne le massacre de tous les nouveau-nés.

Pages galloises

Les Quatre Branches du « Mabinogi » et autres contes gallois du Moyen-Âge traduits par Pierre-Yves Lambert. Parmi ces contes, des légendes royales et l’apparition du roi Arthur.

Portrait de l’artiste en jeune chien de Dylan Thomas (1940). Le poète évoque les souvenirs de son enfance à Swansea. Un manifeste pour la génération née après la Seconde Guerre mondiale.

Sacrées Sorcières de Roald Dahl (1983). Un jeune orphelin surprend par hasard le congrès annuel des sorcières, où il est question de transformer les enfants en souris.

Ianto l’enragé de Niall Griffiths (2002). Ce roman noir mélange le haut et le bas, les cadences de la King James Bible et l’argot des pubs gallois, le style noble et la trivialité la plus abjecte.